poctb

Du jeudi au samedi de 15 h à 18 h 30 et sur rendez-vous

Après le POLT (la ligne Paris Toulouse via Limoges à remodeler pour des trains pendulaires...) et le POCL (la ligne à grande vitesse un temps envisagée pour relier Paris à Lyon ou Clermont-Ferrand via Orléans), intéressons-nous au POCTB... Le Paris-Orléans-Châteauroux-Tille-Brive? Eh non, vous n'y êtes pas du tout... Cet acronyme-là désigne

le Pays où le ciel est toujours bleu!

Avec un nom pareil, ça ne doit pas être dans les environs...

Et si, pourtant, et même c'est au cœur d'Orléans, dans le quartier des Carmes au 5 de la rue des Grands Champs. C'est un lieu d'accès gratuit desservi par le tram (arrêt Croix-Morin ou De Gaulle), ouvert du jeudi au samedi de 15 h à 18 h 30 et sur rendez-vous.

Certes, Mais qu'est-ce que c'est? Un espace d'art contemporain, dont l'existence est soutenue par la Drac Centre Val de Loire, la Région, le Conseil départemental, la Ville d'Orléans et qui participe aux actions de Cultures du Coeur du Loiret.

Le POCTB propose deux expositions

à partir de Jeudi 15 février

et invite au vernissage...

Avis aux amateurs!
 

 
Le pays où le ciel est toujours bleu a le plaisir de vous inviter
le jeudi 15 février 2018 à partir de 18h30 au vernissage des expositions Polyptiques : un dialogue amoureux et Paysages habités.
 
 
 
 
 
5 rue des Grands-Champs à Orléans
 
 
 
 
Polyptiques : un dialogue amoureux
Annie-Paule Thorel

 
 
GALERIE
Du 15 février au 18 mars 2018
Vernissage le jeudi 15 février à partir de 18h30
 
Dans ce « dialogue amoureux » de polyptiques, l’enjeu c’est la lumière : la chercher dans chaque tableau, la poursuivre, la condenser. La couleur élevée à ce statut.
Mais c’est aussi la composition, une organisation de l’espace, de la scansion des lignes qui anime un lieu spécifique.
 
Je souhaitais pour cette exposition associer plusieurs tableaux d’une même série, ayant leur autonomie propre, afin de créer une dynamique perceptive. J’utilise ici l’expérience de ces tableaux dans une poétique de l’espace qui contient la question de l’expansion, poussant les bords vers un au-delà de la surface. Des surfaces qui aspirent ou se dilatent, bruissent, creusent ou avancent en tension. Une manière d’impliquer les corps en présence dans une perception de la peinture.
 
 
En savoir +
 
 

Paysages habités
Marta Orzel
 
 
ESPACE PROJET
Du 15 février au 18 mars 2018
Vernissage le jeudi 15 février à partir de 18h30


Cette exposition propose une série d’œuvres se situant à la lisière entre le dessin et la peinture. Chaque œuvre débute sur le procédé du marbrage, technique consistant à transposer sur papier l’encre flottant sur l’eau, en mouvement. Ce motif dense et abstrait est la base originelle de mon travail. Sur cette première strate viennent se poser, au gré des songes : les montagnes, les rivières, les animaux. Des zones épargnées du passage de la peinture laissent apparaitre la surface marbrée, souvenir de la strate la plus ancienne. Il s’en dégage une harmonie étrange, un calme qui vient de la façon dont je travaille l’acrylique, avec grande précision, métamorphosant le papier millimètre par millimètre.
Un ensemble doux et onirique où la couleur à toute
sa place.
Retour à l'accueil