On n'en a pas fini avec les voeux...

D'abord parce qu'il paraît qu'on a tout le mois de janvier pour en formuler.

Ensuite, parce qu'il y a tant et tant de choses à souhaiter.

Pour commencer, je partage ici les vœux adressés par Joël Daroussin qui, bien qu'établi désormais plus à l'Ouest, reste attaché à ce qui se passe à Olivet et du côté d'Olivet écologique & solidaire

2020 fut tellement étrange.
Qui peut dire ce que sera 2021 ?
Peut-être un temps où l'étrange deviendra dramatiquement la norme.
Ou bien pour se poser et s’interroger sur le sens de ce que l’on fait, soi, et soi avec les autres.
Peut-être un temps pour (se) transformer.
Pour savoir il faudra le suivre, le fleuve du temps.
Ce qui est sûr c’est que chacun fait son chemin.
Ce qui est sûr c’est que tous les chemins forment ensemble un grand courant.
Aujourd'hui il y a du voeu dans les branches.
Alors à vous tous avec qui j'ai cheminé un peu, dans vos branches, mes voeux de bruissements doux et de fruits beaux et bons.
Joël.

Des vœux, en veux-tu en voilà...

Nous en recevons au courrier (de moins en moins), par courriel (de plus en plus) et par le canal de la presse, de la télé, des média divers et variés...

La plupart de ces vœux se résument à souhaiter que 2021 soit mieux que 2020. L'année passée fut telle qu'on ne peut certes qu'espérer que la nouvelle soit d'un meilleur crû! On peut toujours rêver, comme ci-dessous le photographe Vincent Jacques qui n'a pas oublié le temps de vieux cerisiers en fleurs, au Larry, dans sa jeunesse.

Voeux, vaccins, visioconférences...

Des vœux, en veux-tu en voilà...

Nous en recevons au courrier (de moins en moins), par courriel (de plus en plus) et par le canal de la presse, de la télé, des média divers et variés...

La plupart de ces vœux se résument à souhaiter que 2021 soit mieux que 2020. L'année passée fut telle qu'on ne peut certes qu'espérer que la nouvelle soit d'un meilleur crû!

Aussi nous souhaitons-nous les uns les autres, en plus des habituels voeux de santé, bonheur et prospérité un horizon moins sombre! Avec, au détail et au choix, la fin de la deuxième vague de Covid (mais on ne peut s'empêcher de redouter que la troisième survienne), la reprise de l'activité économique (mais voilà que Michelin sabre dans les effectifs), le redémarrage de l'Université (mais en général, les déclarations de Castex et de Macron zappent ce genre de préoccupations), la reprise en "présentiel" de la vie associative, municipale, sociale (mais il a bien fallu recourir au "distanciel" et ce dernier rend aussi bien des services), la réouverture des lieux de culture et de divertissement (mais ça semble reporté aux calendes grecques) etc.

La nouveauté, c'est qu'on en est venu à se souhaiter de bonnes piqures, de bons vaccins, une bonne immunité! Hélas, force est de constater qu'en la matière, ça démarre de façon bien poussive.

Localement, on souhaite bien sûr reprendre le chemin de l'Alliage, de nos gymnases, de nos salles culturelles et citoyennes. Et tous les conseillers municipaux espèrent certainement que le public puisse prochainement assister aux débats, participer aux réunions publiques. Et nous autres, à Olivet écologique et solidaire, nous aimerions bien finir par nous retrouver pour partager des moments conviviaux (pour la galette des Rois, c'est raté... mais pour les crêpes de la Chandeleur, qui sait?). Et pour enfin faire le point, mieux que par écrans interposés, sur l'avancée de nos ambitieux écologiques et solidaires pour Olivet et la métropole.

On sait déjà que la lancinante question du déficit communal en matière de logements sociaux reviendra sur la sellette.  Le maire proteste de son respect pour le logement social et s'agace de ce qu'il appelle  les "leçons de morale" en la matière. Il pointe plus volontiers les obstacles (et il y en a, en effet...) en la matière que les solutions pour y parvenir. Comme le chantait Annie Cordy: "j'voudrais bien, mais j'peux point..."

Nous, nous savons que cela fait des années que les minorités municipales insistent sur cette question et que les majorités municipales se hâtent, mais lentement...

Souhaitons donc pour finir que, dans ce domaine en particulier, on sorte enfin de la crise... et par le haut! Et qu'elle soit riche en réalisations comme l'espère Salima Ouari, qui a exposé naguère au Moulin de la Vapeur.

Voeux, vaccins, visioconférences...
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